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Calais : L’homme qui brandit un fusil s’explique « je me suis défendu » 24/01

 

http://placemarche.info/2016/01/24/une-journee-ordinaire-a-calais/

 

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Un Calaisien sort un fusil « factice »

Par ailleurs, dans une vidéo publiée sur le compte Youtube de l’agence engagée Taranis News, un riverain semble perdre ses nerfs au point de se faire très menaçant dans son jardin, envers les manifestants. Un membre de Taranis News assure que l’homme a « provoqué la foule de la manif avec des doigts et bras d’honneur, insultes, avant qu’elle se retourne contre lui ». La vidéo, qui ne montre pas ce passage, ne permet cependant pas de déterminer avec précision l’origine exacte de cette situation tendue. Les images captées montrent en tout cas l’habitant en question très remonté sortir de chez lui, carabine à la main, qui serait « factice » selon i>Télé. Il pointe brièvement l’arme en direction de la foule, avant de se raviser et de la baisser.

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Arme factice confirmée par la Préfecture et par Nord-Littoral

 

Le chiffre du jour : 200 000

200 000 est le nombre de lecteurs qu’a perdu le quotidien BILD, depuis sa campagne pro-migrants. La diffusion a décliné de 10%.

BILD est le quotidien allemand le plus populaire et le plus diffusé de toute l’Europe occidentale .

Sa diffusion en 2014 s’établissait autour de 2 millions d’exemplaires vendus chaque jour.

 

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Une journée ordinaire à Calais

24 janvier 2016 1 commentaire

France 2 et ses Envoyés Spécieux

Dans l’émission « Envoyé spécial », un reportage diffusé à heure de grande écoute, de la journaliste Elise Le Guevel, et intitulé « Marine Le Pen la bataille des mots », s’efforce d’analyser et de déconstruire la parole publique de Marine Le Pen afin d’en tirer comme conclusion que celle ci puise sa rhétorique aux sources mêmes du racisme.

Si un tel exercice peut s’avérer « original », il prend ici une tournure scandaleuse. L’ensemble des intervenants, analystes, experts et autres pontes de la sociologie, de la littérature et de la démographie, présentés comme des professionnels objectifs et reconnus, sont tous, sans exception, des militants politiques ou des personnalités engagées à des titres divers contre Marine Le Pen et le Front National sans qu’à aucun moment ces derniers ne soient présentés comme tels.

Ainsi, François Heran, pudiquement présenté comme démographe, est un intervenant officiel des débats du Parti socialiste (source site internet du PS).

Jean-Christophe Dumont, présenté comme économiste, est intervenant de la revue « Causes Communes », la revue de la Cimade, défendant les migrants.

Cécile Alduy, présentée comme professeur de littérature et experte de la parole lepeniste, est la fille de l’ancien sénateur-maire UMP de Perpignan et de l’ancienne directrice du journal « Le Monde » et de France 3, fortement engagés contre le FN.

Stéphane Wahnich, « politologue » est en parallèle ex-président des Eurockeennes de Belfort et signataire de l’appel des Festivals contre Le Pen en 2002, publié dans l’Humanité.

Jean Bauberot, présenté comme sociologue spécialiste de la laïcité est ancienne « plume » de François Mitterrand sur ces sujets et ancien conseiller ministériel de Ségolène Royal de 1997 à 1998, membre de son comite de soutien en 2007 et lors de la primaire socialiste.

Lorrain de Saint-Affrique, exclu du FN en 1994, et qui poursuit Marine Le Pen de sa vindicte depuis 20 ans, complète ce tableau partisan et mensonger.

Si chacun est libre de ses opinions, il saute aux yeux que la présentation des ces intervenants n’indique à aucun moment leurs engagements et hostilité manifeste contre Marine Le Pen, alors même que France Télévisions nous les présente comme des professionnels objectifs. Ce sont en réalité des militants politiques, qui, dans la droite ligne éditoriale de France Télévisions, utilisent les moyens de la télévision publique pour diffuser une propagande scandaleuse et mentir aux téléspectateurs de cette émission.

Cet exercice de manipulation, de dissimulation et de manquement grave à la déontologie journalistique doit être dénoncé. A travers ce reportage, présenté comme scientifique et sérieux, France Télévisions trompe les téléspectateurs et insulte les millions de Francais qui soutiennent Marine Le Pen.

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Emmanuelle Cosse (EELV) réagit aux viols de Cologne

Comment le gouvernement a changé de stratégie pour imposer son site sur l’IVG

Devant la férocité de la bataille, le gouvernement a été contraint d’adopter sa stratégie. Depuis 2013, le ministère de la Santé livre un combat contre les opposants à l’avortement « pour qu’une information objective sur l’IVG soit facilement accessible sur Internet ». Cela passe par un référencement optimal sur Google du site ivg.gouv.fr.

« La prolifération d’informations souvent trompeuses et culpabilisantes pour les femmes, y compris sur des sites très bien référencés sur la question de l’IVG, est de nature à porter atteinte à la liberté de choix des femmes », dénonçaient Marisol Touraine et Najat Vallaud-Belkacem au lancement du site il y a un peu plus de deux ans. Depuis, le gouvernement a remporté une première victoire en parvenant à truster la première place des résultats sur le moteur de recherche quand les Internautes tapaient IVG ou avortement.

L’algorithme de Google comporte 200 critères

Seulement, début 2016, la donne a changé et les militants anti-avortement sont parvenus à reprendre (temporairement) la place de numéro 1. D’où l’appel lancé par Marisol Touraine jeudi 7 janvier pour que les internautes cliquent sur le lien du gouvernement. La ministre de la Santé espérait qu’avec ce référencement citoyen, son site redeviendrait leader. C’est chose faite vendredi 8 janvier, sans que l’on sache si ces clics sont réellement à l’origine de cette « victoire ».

« Ce qui a changé depuis le début de l’année, c’est la mobilisation de la ministre« , se félicite-t-on dans l’entourage de Marisol Touraine. Mais un afflux de clics n’est pas forcément suffisant pour parvenir à un tel résultat. Si Google reste mystérieux sur l’efficacité des clics pour arriver à la première place, il faut savoir que c’est un algorithme de 200 critères qui gère l’ordonnancement des sites web.

Alors pour mettre toutes les chances de son côté, le gouvernement ne s’est pas contenté de cet appel aux Internautes. Dans le back-office du site, des changements ont été apportés pour améliorer le référencement dit gratuit et la refonte du site général du ministère de la Santé et des Affaires sociales doit permettre également une meilleure visibilité de http://www.ivg.gouv.fr.

Mais le réel changement de stratégie est à chercher du côté du référencement payant. En 2013, l’entourage de la ministre affirmait que le gouvernement ne dépenserait pas un centime pour concurrencer les sites anti-IVG. « Le site ivg.gouv.fr a été construit pour avoir un référencement naturel optimisé. Nous n’utiliserons pas de référencement payant car nous ne voulons pas de surenchère avec les sites pro-life qui bénéficient de financements très importants », assurait alors une source gouvernementale.

Il s’agit en réalité d’achat de liens sponsorisés qui apparaissent sur fond jaune, sous la requête Google et avant les premiers liens. « On achète ces liens au clic. Dès qu’un internaute clique dessus, l’entreprise paye un centime, deux centimes voire 10 ou 50 centimes selon la concurrence qu’il y a sur un mot-clé« , explique un spécialiste en référencement.

Seulement en deux ans, la ténacité des militants contre l’avortement a forcé les autorités à changer d’avis. « Nous avons eu recours à du référencement payant pour notre dernière campagne d’information sur l’IVG du 28 septembre au 1er décembre 2015. Nous avons même poursuivi l’opération jusqu’au 17 décembre« , confie le ministère. Et pour s’assurer de ne pas repasser en seconde position, cet achat de mot-clé se poursuivre en 2016, hors campagne d’information. Le budget de cette initiative n’est pas encore arrêté. En 2013, le chiffre de 10.000 euros avait circulé.

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Accusé de trolling, le ministère de l’Intérieur se retrouve bloqué par… Wikipédia

Les fonctionnaires du ministère de l’Intérieur, ces trolls.

Le Canard enchaîné révèle ce 12 janvier que l’adresse IP du ministère, ce numéro d’identification qui permet aux ordinateurs d’accéder à internet et qui les relie à un même réseau informatique, a été bloquée par Wikipédia pour une période d’un an ! Motif : « attitude non collaborative« , « passage en force » ou encore « foutage de gueule« . Bigre mais qu’ont-ils fait ?!

C’est simple, certains fonctionnaires de la place Beauvau ont l’habitude de s’acharner à modifier des pages Wikipédia sans motif valable et à prendre le site participatif pour un lieu de discussions, voire de bastons par écrit. Ils en ont tant abusé que tout ordinateur relié au réseau du ministère et tentant de modifier la moindre virgule sur une page Wikipédia en sera dorénavant empêché, et ce pour un an. Le 9 décembre, raconte le Canard, le ministère a carrément fait l’objet d’un signalement pour « vandalisme répété« . En août, un ordinateur du ministère a effacé une partie de la fiche de présentation de Wikipédia avant d’écrire « sale batar«  sur une autre page. Oups.

Et ce n’est pas la première fois que les trolls du ministère de l’Intérieur en font des belles. En 2013, quelqu’un avait essayé de modifier la fiche du préfet de police de l’époque, Bernard Boucault, pour effacer la trace de ses démêlés avec les opposants au mariage pour tous. Six modifications en trente minutes, pendant que d’autres contributeurs, en face, défaisaient ce qu’il faisait. L’adresse IP avait déjà été temporairement bloquée. Place Beauvau, on respecte peut-être la loi, mais pas celle de Wikipédia.

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Hommage officiel à Charlie : BFM TV censure en direct sa journaliste

Doit-on connaître le CV des « islamologues » invités dans les médias ?

Le Quai d’Orsay a longtemps appuyé les « rebelles syriens ». Est-ce parce qu’il a trop longtemps écouté des salafistes déguisés en experts objectifs ?

romaincailletRomain Caillet est un célèbre « islamologue » français, régulièrement invité à commenter l’actualité dans divers médias renommés. Une recherche rapide sur Google permet de se faire une idée de l’aura médiatique de l’« expert ». Depuis le 27 décembre 2015, Romain Caillet a notamment été mentionné sur les médias suivants : Paris Match, L’Obs, France Inter, 20 Minutes, Le Huffington Post ou bien encore Europe 1. Excusez du peu.

Doctorant associé de l’Institut français du Proche-Orient entre 2008 et 2014, Romain Caillet maîtrise son sujet. Il a présenté une thèse d’histoire contemporaine intitulée « Les nouveaux muhâjiru. L’émigration des salafistes français en terre d’islam ». Après avoir étudié le hanbalisme médiéval, expression réformiste traditionaliste de l’islam sunnite, notre homme s’est naturellement penché sur son évolution contemporaine : le salafisme. Ce curriculum vitae en fait une personne qualifiée pour parler des phénomènes islamiques actuels. La mondialisation des échanges (matériels et immatériels) a donné un coup d’accélérateur à l’islam internationaliste. En témoigne l’expansion croissante de l’organisation État islamique.

Dans cette perspective, il n’est pas inintéressant de solliciter l’avis d’un spécialiste francophone pour appréhender pleinement cette problématique complexe. Je ne me permettrai pas de remettre en cause les compétences de Romain Caillet, qui me paraissent indubitables. Le problème est ailleurs. Un de ses articles publiés pour Le Figaro Vox ressemble d’ailleurs, à s’y méprendre, à l’un des miens paru sur  Boulevard Voltaire.

Quand Romain Caillet est cité dans la presse, ou présenté à la télévision, c’est toujours en sa qualité d’« islamologue ». Ce titre d’« islamologue » induit une notion d’expertise, et même de neutralité. Le téléspectateur lambda pense écouter un chercheur dont l’objectivité ne saurait être remise en question. « Monsieur Tout-le-Monde » ignore pourtant que Romain Caillet est converti à l’islam. Ce détail n’en est pas un.

Certains internautes ont même diffusé une vidéo tournée au Liban dans laquelle Romain Caillet apparaîtrait en compagnie de son épouse vêtue d’un niqab. Romain Caillet a longtemps résidé au Liban. Le très médiatique islamologue n’a pas commenté, laissant la place au doute. Peut-être parce qu’il a peur que ces révélations n’entachent sa réputation et puissent l’écarter de certaines tribunes médiatiques ?

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Au mois de février 2015, Romain Caillet était expulsé du Liban pour ses liens supposés avec des terroristes. Il a alors affirmé être la victime d’une cabale des milieux chiites et pro-Assad libanais. Admettons. Rien ne me permet d’affirmer que Romain Caillet entretient une quelconque sympathie pour les assassins de l’organisation État Islamique. Une chose est néanmoins sûre : ses convictions religieuses personnelles ne sont pas neutres. On peut noter dans plusieurs de ses déclarations un tropisme en faveur des États sunnites de la région, notamment l’Arabie saoudite.

Il me semble indispensable de révéler ces éléments aux lecteurs de Romain Caillet. Nous devons savoir qui sont réellement les gens invités à commenter cette actualité brûlante. Romain Caillet est engagé de fait par sa pratique religieuse. Connaître cet élément fondamental de sa personnalité permet d’apporter un autre éclairage à ses analyses géopolitiques. Le Quai d’Orsay a longtemps appuyé les « rebelles syriens ». Est-ce parce qu’il a trop longtemps écouté des salafistes déguisés en experts objectifs ?

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« Libération » ouvre enfin les yeux sur l’invasion migratoire et publie un témoignage effrayant sur les agressions sexuelles de Cologne

Le parvis de la cathédrale et les abords de la gare de Cologne (Rhénanie-du-Nord-Westphalie) sont de nouveau noirs de monde, comme pendant la soirée de la Saint-Sylvestre. Mais, ce samedi, ce sont les manifestants qui ont pris d’assaut le cœur de cette ville des bords du Rhin. Parmi eux, de nombreuses femmes et jeunes filles venues protester contre les centaines d’agressions sexuelles commises lors de la nuit du réveillon. «Les forces de l’ordre étaient totalement dépassées, incapables de protéger les jeunes femmes livrées aux attouchements d’hommes en rut, qu’elles soient accompagnées de leur petit ami ou non, raconte Clara, une jeune fille blonde de 28 ans, venue manifester sur le parvis de la cathédrale, à l’appel de divers mouvements féministes. Personne n’a jamais vu une chose pareille. Les hommes se jetaient sur les femmes comme si nous avions été du bétail. J’ai dû marcher 200 mètres le long du quai à la descente du train. Je crois qu’on m’a tripotée 100 fois, qu’on m’a mis 100 fois la main aux fesses ou sur les seins.»

Le scandale continue de provoquer un vif émoi dans tout le pays. Ce sont désormais plus de 500 femmes qui ont porté plainte à Cologne, dans 40 % des cas pour agression sexuelle. Toutes ont décrit avoir été «encerclées par de petits groupes d’hommes d’apparence arabe ou maghrébine» à leur descente des trains régionaux entre minuit et 4 heures du matin, alors qu’elles se rendaient dans le centre-ville pour y assister aux festivités.

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Attouchements, insultes à caractère sexuel ou sexiste… De nombreuses victimes se sont également fait voler leur téléphone portable ou leur sac à main. Des faits similaires se sont produits la même soirée à Hambourg, Stuttgart, Francfort mais aussi à Zurich (Suisse), Salzbourg (Autriche) et en Finlande. Pour le ministre allemand de la Justice, Heiko Maas, il ne fait pas de doute que les agressions étaient «planifiées». «Personne ne me fera croire que, lorsqu’une telle horde se retrouve pour commettre de tels crimes, cela n’a pas été coordonné, poursuit le ministre dans les colonnes du Bild-Zeitung. Il semble bien qu’on ait cherché là une date précise et la perspective de vastes rassemblements» pour commettre ces actes.

Mieux vaut tard que jamais. Libé va-t-il maintenant présenter ses excuses à tous les patriotes éclairés qui tentent depuis des mois, des années, d’avertir les peuples d’Europe des dangers que représente cette invasion migratoire ?

Source Libération via Nouvelles de France