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Archive for the ‘France’ Category

Le chiffre du jour : 37

Comme le montre graphique , en 2014, 37 % des naissances en France sont non-européennes! Sans parler des réfugiés.

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Blois : Une vraie mairie de Gauche sociale et solidaire.

Polémique entre les Restos du Cœur et la municipalité de Blois ( Union de la Gauche). La cause : un arrêté pris début janvier par la mairie de gauche pour limiter la distribution de repas chauds aux SDF. 

Tout est parti d’un arrêté municipal datant du 6 janvier dernier, règlementant et réduisant la distribution de repas chaud aux Sans Domicile Fixe dans les rues de Blois à certains endroits. Depuis, les Restos du Cœur ne sont plus autorisés à faire leurs « maraudes » que trois fois par semaine au lieu de cinq.

Extrait de l’arrêté : 

« Les Restos du Cœur sont autorisés à occuper le domaine public à l’occasion de la distribution de produits alimentaires qui se déroulera les lundis, mercredis et vendredis.« 

Pour la mairie, Blois est une ville touristique et cet arrêté résulte de la bonne gestion de l’espace public.

Les gens de la rue ont plusieurs possibilités pour avoir des repas. En particulier, il y a l’accueil de jour qui est géré par l’ASLD (Aide Soutien Lutte contre les Détresses) et qui offre quotidiennement des repas aux gens de la rue. Les maraudes des Restos du Cœur sont complémentaires, nous dit Odile Soules, adjointe PC à la solidarité.

Résultat, les 35 à 40 SDF Blésois qui bénéficient de ces maraudes affirment qu’ils ne pourront plus désormais manger que trois fois par semaine…

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Calais : L’homme qui brandit un fusil s’explique « je me suis défendu » 24/01

 

http://placemarche.info/2016/01/24/une-journee-ordinaire-a-calais/

 

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Un Calaisien sort un fusil « factice »

Par ailleurs, dans une vidéo publiée sur le compte Youtube de l’agence engagée Taranis News, un riverain semble perdre ses nerfs au point de se faire très menaçant dans son jardin, envers les manifestants. Un membre de Taranis News assure que l’homme a « provoqué la foule de la manif avec des doigts et bras d’honneur, insultes, avant qu’elle se retourne contre lui ». La vidéo, qui ne montre pas ce passage, ne permet cependant pas de déterminer avec précision l’origine exacte de cette situation tendue. Les images captées montrent en tout cas l’habitant en question très remonté sortir de chez lui, carabine à la main, qui serait « factice » selon i>Télé. Il pointe brièvement l’arme en direction de la foule, avant de se raviser et de la baisser.

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Arme factice confirmée par la Préfecture et par Nord-Littoral

 

Une journée ordinaire à Calais

24 janvier 2016 1 commentaire

«Islamophobie» : les chiffres du CCIF ne sont pas fiables

Dans une interview au journal La Croix, Bernard Cazeneuve a annoncé les chiffres des actes antisémites, antimusulmans et antichrétiens pour l’année 2015. Les actes antimusulmans ont plus que triplé et s’établissent à «environ 400». Pourtant, le Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF) évoque des chiffres bien plus élevés concernant les actes «islamophobes». Comment expliquez-vous un tel décalage? Comment ces chiffres sont-ils obtenus?

Les chiffres du CCIF ne sont absolument pas fiables: son rôle est d’alimenter le sentiment de persécution des musulmans par les non-musulmans et de faire entériner le concept d’islamophobie pour imposer l’interdit de «diffamer les religions, surtout l’islam», ainsi que de faire abroger les lois de 2004 et 2010 sur le voile «islamique» à l’école et le voile intégral. J’ai étudié l’ensemble de leurs statistiques entre fin 2003 et 2012. Leurs rapports annuels étaient alors disponibles sur leur site, constitués de listes totalement imprécises, avec des doublons et des triplets visiblement comptabilisés pour autant d’actes «islamophobes». J’ai donc fait des recherches poussées sur chaque doléance, en me basant sur les informations fournies par le CCIF et en parvenant le plus souvent à les recouper avec des informations parues dans la presse régionale ou nationale, à partir d’un nom, d’une ville, d’un lieu ou d’une simple date. Au-delà de ce relevé précis qui permettait dans un premier temps d’établir un acte unique pour trois mentions, par exemple, j’ai voulu connaître les suites données: enquêtes de police, puis jugements.
Il faut savoir que le CCIF comptabilisait à l’époque comme «actes islamophobes» des faits aussi divers qu’une question posée à une jeune femme voilée lors d’un entretien à l’ANPE, des règlements de compte crapuleux, des vols relevant du simple droit commun, des propos jugés insultants et, beaucoup plus graves, des expulsions de prédicateurs violemment antisémites et appelant au djihad contre les infidèles et l’Occident, voire en lien avec des entreprises terroristes.

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«Il faut refonder l’Observatoire de la laïcité»

Manuel Valls a fustigé lundi soir l’appel que le président de l’Observatoire de la laïcité a lancé avec des proches des Frères Musulmans. Mais, pour Malika Sorel, ce n’est pas suffisant : Jean-Louis Bianco doit démissionner.

92253769_o« Il suffit qu’une quelconque demande d’ordre religieux, ou perçue comme telle, pointe le bout de son nez, pour que le pouvoir politique fasse aussitôt le choix de bafouer la laïcité. »
« Non seulement Manuel Valls doit imposer la démission de Jean-Louis Bianco et de son cabinet, mais il doit également renouveler l’Observatoire de la laïcité afin qu’il soit exclusivement composé de personnalités reconnues comme respectueuses de la laïcité républicaine donc non adjectivée, et sincèrement attachées au refus du relativisme culturel qui constitue le véritable cheval de Troie de la répudiation de la laïcité. » […]

Pour commencer, il faudrait cesser de recourir au terme d’“accommodements raisonnables” qui a été emprunté aux Québécois, car au vu de leurs conséquences sur la concorde civile, nous devrions les qualifier d’“accommodements déraisonnables”. Le fait d’avoir cherché à s’arranger avec des principes qui ne faisaient que traduire, dans la vie quotidienne, l’identité du peuple français a été doublement néfaste. Néfaste pour le peuple français qui s’est senti, à juste titre, trahi dans ce qu’il a de plus précieux et intime – son identité. Néfaste pour les nouveaux entrants et pour la part de l’immigration qui rencontrait des difficultés à s’intégrer culturellement, car cela a envoyé le signal que, tôt ou tard, tout pouvait être accommodé. Dans ces conditions, il était prévisible que les difficultés d’intégration culturelle iraient croissant. Pourquoi s’astreindre en effet à des adaptations culturelles, parfois difficiles et douloureuses, si les politiques sont enclins à renoncer à faire respecter des dimensions importantes de la culture de la terre d’accueil?

Il existe une hiérarchie des responsabilités qu’il convient de ne pas perdre de vue. Il ne faut pas oublier non plus le rôle joué par les discours accusateurs envers la France, qui serait responsable de tous les malheurs. Semer les graines du ressentiment dans le cœur des enfants de l’immigration, chercher sans cesse à les dresser contre la France et les Français, se révèle sans surprise préjudiciable au maintien de la concorde civile. Aujourd’hui, plus que jamais, le devoir de vérité sur la réalité des défis et des enjeux communs s’impose.

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France 2 et ses Envoyés Spécieux

Dans l’émission « Envoyé spécial », un reportage diffusé à heure de grande écoute, de la journaliste Elise Le Guevel, et intitulé « Marine Le Pen la bataille des mots », s’efforce d’analyser et de déconstruire la parole publique de Marine Le Pen afin d’en tirer comme conclusion que celle ci puise sa rhétorique aux sources mêmes du racisme.

Si un tel exercice peut s’avérer « original », il prend ici une tournure scandaleuse. L’ensemble des intervenants, analystes, experts et autres pontes de la sociologie, de la littérature et de la démographie, présentés comme des professionnels objectifs et reconnus, sont tous, sans exception, des militants politiques ou des personnalités engagées à des titres divers contre Marine Le Pen et le Front National sans qu’à aucun moment ces derniers ne soient présentés comme tels.

Ainsi, François Heran, pudiquement présenté comme démographe, est un intervenant officiel des débats du Parti socialiste (source site internet du PS).

Jean-Christophe Dumont, présenté comme économiste, est intervenant de la revue « Causes Communes », la revue de la Cimade, défendant les migrants.

Cécile Alduy, présentée comme professeur de littérature et experte de la parole lepeniste, est la fille de l’ancien sénateur-maire UMP de Perpignan et de l’ancienne directrice du journal « Le Monde » et de France 3, fortement engagés contre le FN.

Stéphane Wahnich, « politologue » est en parallèle ex-président des Eurockeennes de Belfort et signataire de l’appel des Festivals contre Le Pen en 2002, publié dans l’Humanité.

Jean Bauberot, présenté comme sociologue spécialiste de la laïcité est ancienne « plume » de François Mitterrand sur ces sujets et ancien conseiller ministériel de Ségolène Royal de 1997 à 1998, membre de son comite de soutien en 2007 et lors de la primaire socialiste.

Lorrain de Saint-Affrique, exclu du FN en 1994, et qui poursuit Marine Le Pen de sa vindicte depuis 20 ans, complète ce tableau partisan et mensonger.

Si chacun est libre de ses opinions, il saute aux yeux que la présentation des ces intervenants n’indique à aucun moment leurs engagements et hostilité manifeste contre Marine Le Pen, alors même que France Télévisions nous les présente comme des professionnels objectifs. Ce sont en réalité des militants politiques, qui, dans la droite ligne éditoriale de France Télévisions, utilisent les moyens de la télévision publique pour diffuser une propagande scandaleuse et mentir aux téléspectateurs de cette émission.

Cet exercice de manipulation, de dissimulation et de manquement grave à la déontologie journalistique doit être dénoncé. A travers ce reportage, présenté comme scientifique et sérieux, France Télévisions trompe les téléspectateurs et insulte les millions de Francais qui soutiennent Marine Le Pen.

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Huit années passées à flouer la Caf et la Sécu

Faux documents d’identité, alias, fausses déclarations, justificatifs de ressources tout aussi apocryphes, extraits de naissance travestis… D’ailleurs, selon les dires d’un voisin, Kacem, alerte sexagénaire, passait énormément de temps dans sa cave. Et pour cause. C’est là, dans ce huis clos, équipé du matériel idoine, qu’il s’ingéniait à fabriquer ces titres fantoches. Avec lesquels il a, huit années de rang, entre le mitan de 2003 et juillet 2008, mais également en amont de cette période, floué les caisses d’Assurance maladie et d’allocations familiales du Gard, de l’Aude, de Paris et de l’Hérault en obtenant des prestations sociales indues, pour un montant de quelque 81 000 €.

Une fraude d’ampleur découverte fortuitement et déclenchant l’ouverture d’une enquête, d’une information judiciaire, la saisine d’un magistrat instructeur… Lequel aura bien du mal à entendre Kacem. Résidant londonien mais, entre-temps, réfugié au Maroc. Et qui va finir par être interpellé dans la région de Malaga, l’année dernière, à la faveur d’un mandat d’arrêt européen délivré en bonne et due forme par la justice hexagonale.

Sous écrou depuis, Kacem a fini par se retrouver dans le box de la correctionnelle.

« C’était une véritable entreprise. Vous avez passé combien d’heures par jour à fabriquer ces faux ? », interroge le président Tastevin.

« Je ne me souviens pas du tout », lâche Kacem. Concédant avoir eu maille à partir avec le Crown prosecution service (l’équivalent du parquet outre-manche), dans une affaire similaire. Et avoir, pour cela, écopé de trois ans de geôle.

– « Et cela a duré combien de temps là-bas ?« , embraye le magistrat.

« Quelques années… »

« Le portrait de celui-ci, fait par son propre neveu, nous a rappelé que monsieur était un escroc, n’avait jamais travaillé… Ce portrait est exact : Il nous l’a dit aujourd’hui », retrace le représentant du parquet. Face à un prévenu qui fut « un jeune étranger de 20 ans que la France va accueillir ».

Un homme qui « parle bien, obtient ce qu’il veut. Il a fait son métier d’escroquer la collectivité et a vécu sur l’idée qu’il n’avait pas à travailler. Il n’a plus de souvenir. Mais ça, c’est une posture facile pour ne pas entrer dans le détail de ses exactions ! » De quoi justifier cinq années de prison, dont une assortie d’un sursis et d’une mise à l’épreuve, requises sur l’audience, maintien en détention en sus.

Le prévenu va faire appel

« Sa responsabilité est entière« , plaide Me Abratkiewicz, le conseil de Kacem. Pour autant, tout n’est pas aussi limpide, estime le pénaliste. Et de le dire : « La Caf distribuait l’argent sans contrôler, comme des béni-oui-oui ! Jusqu’à il y a peu, c’était très facile parce que l’on ne vérifiait rien ! » Reste que son client a écopé de quatre ans ferme. Identique à la peine prononcée, en son absence, quatre ans plus tôt. Dès le jugement connu, Me Abratkiewicz a indiqué qu’il faisait appel de cette décision.

Catégories :Faits divers, France, Société

«Vigipirate, c’est d’abord un leurre.»

Vigipirate est un plan gouvernemental ambitieux. Son objectif affiché est d’« assurer en permanence une protection adaptée des citoyens, du territoire et des intérêts de la France contre la menace terroriste ».

au-j-o-vigieAprès dix ans de Vigipirate « rouge » et un an de Vigipirate « alerte attentat », plutôt raté! Vigipirate, c’est d’abord un leurre.

Un leurre de communication : le gouvernement fait croire qu’il agit alors qu’il aggrave les problèmes par sa politique d’immigration de masse en provenance des pays musulmans. Il ne sert à rien de renforcer les politiques sécuritaires sans changer de politique migratoire ! Et de diplomatie !

Vigipirate n’est pas seulement inutile, il est aussi coûteux : 10.000 militaires se promènent dans les rues et les dépenses de sécurité des entreprises et des établissements publics explosent. Sans aucun bénéfice pour la sécurité.

Bien au contraire. De deux choses l’une : ou les contrôles sont faits à la va-vite et créent l’illusion d’une fausse sécurité ; ou ils sont un peu plus tatillons et créent des files d’attente à l’extérieur des bâtiments. Des files d’attente qui pourraient faciliter le « travail » de terroristes pouvant alors mitrailler des lieux touristiques de l’extérieur ou tout simplement lancer un véhicule sur les visiteurs. Tout le monde le sait. Un rapport ministériel a souligné ce danger il y a plus de dix ans. Si un attentat de ce type est commis, le responsable portera un nom : Bernard Cazeneuve, ministre de l’Intérieur.

Pourquoi donc s’obstine-t-on à maintenir ces pratiques aberrantes sauf cas exceptionnels ?

Pour conditionner les populations. Des populations qui sont invitées à se soumettre à des fouilles inutiles et humiliantes : « Levez les mains », « Les bras en l’air », vous disent certains agents, ignorant les usages avant de vous laisser entrer dans un musée ou une grande surface commerciale.

Allons plus loin ! Les établissements publics et privés ont recruté au débotté des « agents de sécurité »  dont on aimerait être sûr qu’ils ont tous été préalablement formés et qu’ils ont obtenu les agréments nécessaires des autorités de police. D’autant – il suffit d’ouvrir les yeux – pour constater que les recrutements privilégient manifestement des populations en provenance de l’immigration ; y compris issues des bandes de banlieue dont les membres trouvent des débouchés dans les… entreprises de sécurité. On a ainsi découvert que des dizaines de militants islamistes opéraient à Roissy.

A moins que le contrôle de Français de souche par des immigrés, pour beaucoup musulmans, ne soit qu’une étape de plus vers la soumission prophétisée par Houellebecq. Doit-on l’accepter sans broncher ?

Jean-Yves Le Gallou

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Milices à Béziers, groupes d’auto-défense à Marseille…

miliceTout dépend ce que l’on entend par le terme de milice. S’il s’agit de se réunir à quelques individus, de faire une ronde autour du quartier et d’empêcher une éventuelle infraction ou de la signaler à la police, tout cela relève de la liberté de se réunir et d’aller et venir. Il n’y a absolument rien d’illégal. Si, en revanche, cela consiste à mener des expéditions punitives et à avoir des réactions disproportionnées alors là, il y a effectivement un problème. Se promener dans l’espace public avec des armes, par exemple, c’est illégal. En fait, le cadre légal ne parle pas de milice mais de réaction autorisée par rapport à une infraction. Sont autorisés : l’autodéfense (riposte proportionnée à l’attaque) et la possibilité d’appréhender un individu en train de commettre une infraction avant l’arrivée des forces de l’ordre. Concrètement, si un individu assiste à une agression au cours de laquelle l’agresseur intimide une personne se sentant vulnérable (en la prenant à partie verbalement par exemple), cela ne lui donne pas le droit de briser le bras de l’agresseur ou de l’assommer. En revanche, il est tout à fait légal de l’appréhender, de le ceinturer ou de le menotter et de l’immobiliser jusqu’à l’arrivée des forces de l’ordre.

Article dans son intégralité  ICI.